Le cauchemar de Diana : une entrave particulière
Pour avoir tenté de s’échapper, Diana se voit imposer un système d’entrave particulièrement désagréable et efficace. Un gant (plutôt un manchon) enferme ses bras croisés dans son dos. On peut apprécier la précision du dessin qui reproduit la forme de la main dans le creux du coude, indiquant ainsi à quel point le gant est serré. Une ceinture de fer autour de la taille. Notre héroïne ayant eu la bonne idée de se vêtir d’un haut qui ne couvre que sa poitrine, il est facile d’imaginer l’effet du contact froid du métal contre son ventre. Enfin un baton dans son dos coulisse à l’intérieur d’un anneau fixé à la ceinture métallique. Il ne reste plus qu’à enfermer les cuisses et les chevilles de la captive dans des chaînes reliées au baton. Sans oublier les deux anneaux de cuir en haut de ce baton : un autour du front et l’autre entre ses lèvres. Le dessin montre que les chaînes sont tendues à l’extrême. On imagine aisément que Diana doit jeter davantage sa tête en arrière pour pouvoir avancer son pied. Comme de surcroit elle est tenue en laisse par sa cousine grâce à une corde reliée à la ceinture de fer, cela devient sans doute très vite désagréable. Le dessin nous montre d’ailleurs les jambes tremblantes de la jeune femme.