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Hello Gwendoline
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Diana

Liz et Beth

31 décembre 2020

Le choix de Gwendoline : Un mariage princier

La princesse Tania est assise inconfortablement sur une chaise au dossier droit. Ces bras sont emprisonnés de chaque côté du dossier dans des sangles. D'autres sangles fixent sont torse au dossier de la chaise. Des sangles immobilisent ses cuisses ses jambes et ses chevilles. Une dernière qui entoure son front l'oblige à garder la tête droite. Elle fait face à un écran de télévision.

 

"C'est un privilège rare de pouvoir assister en direct à son propre mariage."

 

Le bâillon, dont elle a le sentiment qu'il lui manquerait si elle en était libéré, évite à la captive de répondre à la moquerie de sa geôlière.

 

"Ce n'est pas non plus si fréquent d'être prisonnière dans son propre palais."

 

La moquerie de Zéna rappelle à Tania comment elle s'est retrouvée dans cette triste situation.

 

Tout avait débuté par la visite du prince Rudolph. Visite organisée par sa conseillère, Zéna, et la soeur du prince, Olga.

Dès l'arrivée de cette famille et de sa suite, la princesse a éprouvé un étrange malaise : le prince était manifestement stupide et totalement soumis à sa soeur. Elle avait décidée de prétexter un malaise pour justifier son absence au repas organisé en l'honneur de leurs visiteurs.

 

La facilité avec laquelle Zéna avait accepté aurait du l'alerter. Mais comment aurait-elle pu suspecter une telle traîtrise. Comment aurait-elle pu imaginer que son mariage avec le prince Rudolph allait être annoncé. Signifiant ainsi la fusion de leurs deux royaumes et permettant aux criminels qui dirigeaient ouvertement le royaume du prince Rudolph de s'emparer sans difficultés du royaume de Bulovia dont elle était la princesse.

 

Elle s'était précipité pour dénoncer cette infamie mais elle s'était trouvée face à Zéna et Sonia une des soeurs du prince Rudolph. Les deux femmes l'avaient maîtrisée sans mal. Pendant que Sonia lui tenait les bras, Zéna avait lié ses poignets dans son dos. Puis ses bras. La princesse avait tenté d'appeler à l'aide mais un épais chiffon enfoncé dans sa bouche, fixé par deux bandes de tissu, une étroite et l'autre large qui recouvrait totalement ses lèvres, avait réduit ses pitoyables appels à l'aide à des soupirs ridicules et inaudibles. Sa fidèle servante avait tenté de chercher l'aide mais elle avait été à son tour ligotée et bâillonnée.

 

La princesse avait ensuite était conduite dans un cachot où elle avait été enchaînée au mur par ses poignets levés au-dessus de ses épaules et par un collier fixé à son cou. Une ceinture métallique et des chaînes à ses chevilles avaient conclu cet atroce travail. Le plus effrayant était le calme avec lequel les ravisseuses avaient procédé. Certaines que personne ne viendrait au secours de leur malheureuse victime.

 

Le bâillon avait été remplacé par un tube une boule de mousse enfoncé dans sa bouche et un tube de cuir glissé entre ses dents et maintenu par une chaîne verrouillée sur sa nuque.

 

Sonia la soeur ainée de Rudolph s'était alors installée confortablement face à la princesse impuissante.

 

"Je bais vous expliquer la situation ma chère. Zéna va annoncer que vous êtes souffrante et que vous devez prendre du repos. Ce qui signifie renoncer à un grand nombre de cérémonies officielles. Zéna assurera vos responsabilités. Cela nous laissera le temps de vous convaincre d'accepter ce mariage. Nous ne manquons pas de moyens de persuasions. Il serait raisonnable d'accepter tout de suite mais vous ne le pouvez pas en étant ainsi bâillonnée. Nous allons commencer par vous tourmenter. Pour vous convaincre que nous ne plaisantons pas. Et aussi parce que nous en avons très envie. Je n'ai donc qu'un conseil à vous donner. Quand nous enlèverons ce bâillon, acceptez notre proposition.

 

Bien que terrifiée, la princesse avait résisté aux punitions, brimades et autres tourments que lui infligeaient ses ravisseuses. Elle espérait que son peuple allait s'inquiéter de son absence malgré le désespoir dans lequel l'avait plongé l'abandon de tous ses proches à l'exception de sa servante.

 

La malheureuse domestique payait très cher sa fidélité. Entièrement nue à l'exception du tablier de soubrette qui cachait à peine son sexe, les chevilles enchaînées, la tête emprisonnée dans une cage qui la bâillonnait, elle devait porter des messages à travers tout le château. Pour se faire ses poignets étaient enchainés dans son dos et leur chaîne coulissait à travers un anneau fixé à sa ceinture métallique. Le message écrit était déposé sur un plateau qu'elle tenait dans sa main droite. Pour tenir le plateau, elle devait appuyer le dos de sa main gauche contre ses fesses et tirer au maximum sur la chaîne qui unissait ses poignets. Elle devait parcourir le château en tous sens et était sévèrement punie si elle était trop lente. S'asseoir entre deux livraisons de message était interdit. Pour lui épargner cette tentation, une anse de métal hérissée de quelques pointes avait été fixée à sa ceinture métallique et placée entre ses fesses. La servante devait régulièrement apporter des messages aux geôlières de la princesse. Cette dernière souffrait de voir la fidélité ainsi punie. Ses ravisseuses ne manquaient pas de lui rappeler qu'elle était responsable de cette situation et qu'il suffisait qu'elle accepte le mariage qui lui était proposé.

 

Mais la courageuse princesse avait résisté. Elle avait supporté les privations, le fouet, les divers ligotages.

Le ballte où ses jambes pliées étaient appuyés contre son torse avait été douloureux. Se chevilles étaient reliées à ses poignets par une corde qui glissait dans le sillon de ses fesses Ses bras étaient liés contre son dos par des cordes qui entouraient ses cuisses. Sa tête juste au dessus du sol, elle devait tirer sur ses liens pour atteindre la nourriture et la gamelle d'eau qui lui permettait d'étancher sa soif. Son bâillon n'était retiré que quand on lui apportait la gamelle contenant l'infâme nourriture qui lui était destinée. La gamelle d'eau était toujours en place. Poussée par la soif, elle avait parfois tenté d'humecter son bâillon. Ses geôlières l'avaient constaté et avait mis dans sa bouche une boule faite d'une matière qui enflait quand on la mouillait.

Elle avait été placée au milieu d'une petite salle où passaient les domestiques et des alliés de sa famille. Elle avait mesuré l'étendue de la trahison dont elle était victime. L'instruction pour toute personne traversant cette salle était de tourmenter la prisonnière. Et tous ceux qui en avait eu l'occasion n'avaient pas hésité à le faire. Certains se contentaient de resserrer ses liens ou d'ajuster son bâillon. D'autres d'une tape sur ses fesses particulièrement bien exposées. La plupart n'avaient pas hésité à utiliser les outils mis à leur disposition, fouet ou cravache, pour prendre soin de son postérieur soumis à rude épreuve.

Une fois elle avait courageusement tenté d'atteindre un couteau tombé de la poche d'une personne de passage. Elle avait cru à un allié mais en avait ensuite douté quand elle avait constaté que l'objet était quasiment inaccessible. Elle avait réussi à basculer et tenté de tirer sur ses liens pour récupérer le couteau et avait été surprise à cet instant. Elle avait été cruellement punie, suspendue plusieurs heures la tête en bas. Puis elle avait retrouvée sa position de balltie avec un aménagement supplémentaire. Les cordes qui entouraient son corps et ses chevilles étaient liées à des anneaux fixés au sol. Ses tortionnaires avaient même ajouté un anneau fixé à une code qui entourait son cou la privant de la possibilité de relever la tête.

Comme elle continuait de résister, elles avaient décidés de lui bander les yeux. Ainsi elle ignorait qui entrait dans la pièce et ce qu'il faisait. Saisissait-il le fouet, la cravache, la tapette. Se contentait-il de ses mains. Certains restaient un long moment à ses côtés profitant de l'angoisse qui était la sienne.

Ensuite, le bandeau sur les yeux ne lui avait plus été retiré même pour manger. Elle ne découvrait ce qu'était la nourriture insipide qu'à l'instant de la goûter.

Pourtant, elle n'avait pas cédé. Elle était certaine que quelques puissants lui étaient fidèles, que le peuple de son pays s'inquiétait de son absence et que ses ravisseuses devraient renoncer à leur vile entreprise.

 

Jusqu'à ce qu'elles découvrent qu'elle avait un sosie.

La princesse est tirée de ses sombres pensées par Zena qui se penche vers elle.

"Ecoute le spectacle va commencer."

 

La voix du journaliste s'élève dans le poste.

"Mesdames, Messieurs, chers téléspectateurs. Je suis certain que vous êtes nombreux à vous être réunis autour de vos postes de télévision. Et que ceux qui n'en ont pas ont été invités par leur voisin pour ne rien manquer de cet événement qui marque l'union de deux pays longtemps en conflit."

 

Une voix féminine prend le relais.

"Ce n'est pas la première fois qu'une telle union a lieu. Ces deux pays ont été régulièrement séparés et réunis. Toujours par le mariage."

 

Le speaker reprend la parole.

"Nous assistons à l'arrivée du carrosse qui transporte le prince."

"Carrosse dans lequel les époux repartiront une fois la cérémonie achevée."

"Mais je ne vois pas la future épouse."

"C'est que les maîtres de cérémonie ont tenu à revenir à une tradition séculaire et disons-le surprenante."

 

La princesse qui n'ignore rien de cette sinistre cérémonie ne peut s'empêcher de tirer sur ses entraves en écoutant les propos enthousiastes des commentateurs.

 

Zéna la rappelle à l'ordre.

"Tu devrais savoir que c'est inutile. Je te conseille de te calmer et de profiter du spectacle".

 

La princesse préférerait être dans un cachot plutôt que faire face à cet écran de télévision. Bien qu'elle sache les raisons pour lesquelles Gwendoline a accepté cette mascarade, elle ne peut pas s'empêcher de lui en vouloir.

Les ravisseuses de Gwen lui ont promis qu'elle serait libre une fois la cérémonie achevée. A la seule condition que la jeune femme s'engage à ne rien dire de la duperie à laquelle elle participe. Pour être certaines que Gwen ne les trahirait pas, elles maintiendront son amie U69 dans le château. Et elle paiera lourdement toute trahison de sa compagne. Et de toutes façons personne ne la croira.

 

La princesse est tirée de ses sombres pensée par la voix du speaker qui annonce l'arrivée de Gwen.

"Et voici la princesse qui arrive à pied entourée de gardes dans une robe qui ne cache rien de son corps."

"Vous voulez dire, transparente mon ami"

"En effet et il faut reconnaître que le spectacle est plutôt plaisant."

"Pourquoi ne dites vous rien des liens qui enserrent ses poignets et ses chevilles?"

"En effet, ses poignets croisés sont liés dans son dos et reliés à ses chevilles par des cordes qui descendent le long de ses jambes. Elle peut ainsi marcher avec difficulté."

"D'autant plus difficilement que les cordes entre ses poignets et ses chevilles sont tendues et qu'elle doit régulièrement se tenir en arrière pour avancer."

"Ce qui reconnaissons le met en valeur un corps irréprochable. Ma chère Marlène, vous pouvez peut-être nous expliquer les raisons de cette arrivée pour le moins originale"

"Bien entendu. C'est un rappel de la première union entre ces deux pays. Le prince Rudolph avait enlevé la princesse Diane et l'a conduite ainsi jusqu'au mariage."

"Etait-elle bâillonnée comme l'actuelle princesse."

"Exactement."

"Cela ne semble pas très honnête."

"Mais vous ne connaissez pas la fin de l'histoire."

"En effet, mais je suppose que vous allez nous la révéler."

 

Le badinage de ces journalistes qui commentent plaisamment une infamie blesse la princesse tout en lui rappelant son impuissance.

 

"Les partisans de Diane sont intervenus à temps et l'ont libérée à l'instant où le mariage allait être conclu. Le prince était entouré d'ennemis. Les sauveurs de la princesse lui ont retiré son bâillon et à cet instant, elle n'a prononcé qu'un mot."

"Lequel. Vous nous faites languir chère amie."

"Oui"

"Oui?"

"C'est le mot qu'elle prononça. Elle signifiait ainsi qu'elle pardonnait à Rudolph ses méthodes de rustre et acceptait l'union de leur deux pays. Mais cette union n'a pas donné naissance à des enfants. Et les nièces de Diane ont décidé que leur pays retrouverait leur indépendance. C'est ainsi que la rivalité entre ces deux minuscules nations a duré jusqu'à nos jours."

 

"C'est une belle légende mais est-elle vraie?"

"Les organisateurs du mariage ont manifestement décidé qu'elle l'était. On peut les comprendre puisque les prénoms des futurs mariés sont Diane et Rudolph"

 

Ses propos semblent si insupportables à la princesse qu'elle tire une nouvelle fois sur ses entraves. Tout aussi inutilement qu'auparavant. Cette légende est fausse, imaginée de toute pièce par les ravisseuses. Mais à présent que deux journalistes en auront parlé dans cette méprisable invention qu'est la télévision, tout le monde y croira. Et elle est immobilisée sur cette horrible chaise, incapable de s'opposer à cette duperie, contrainte d'écouter ce commentaire stupide. Elle frémit en sentant la cravache de Zena effleurer sa poitrine.

 

"C'est toujours un plaisir de te regarder essayer de te libérer. Depuis le temps que tu es notre prisonnière. Tu devrais savoir que tu n'as aucune chance d'y parvenir".

 

La princesse se calme et se concentre sur l'infâme cérémonie en tentant d'ignorer le commentaire dithyrambique du speaker. Elle observe Gwen qui avance au milieu de la foule. S'efforçant d'avance dignement la tête haute malgré ses liens et son bâillon. Et cette robe transparente qui ne cache rien de son corps superbe. Elle est son parfait sosie. A un détail près que n'ont pas remarqué leurs ravisseurs. Un détail qui pourrait renverser la situation si Gwen ose dire la vérité à l'instant où son bâillon lui sera enfin retiré.

 

Gwen gênée par ses liens grimpe avec difficultés les marches du palais. Ce qui ne semble gêner personne dans la foule qui l'entoure. Elle pénètre dans l'immense salle où doit se dérouler la cérémonie. Les caméras à l'intérieur ont pris le relais.

 

Zena toujours cruelle et souriante souligne le port altier du sosie de la princesse.

"J'espère que tu admires la façon dont cette jeune femme te rend honneur en se tenant parfaitement droite et la tête haute. On pourrait la croire fière d'être ainsi ligotée et bâillonnée."

 

"C'est l'éducation de la tante d'U69 qui a permis un tel résultat."

La princesse reconnaît la voix de Fifi qui a trahi U69 sans le moindre scrupule.

 

"Il est regrettable que notre chère espionne rate ce spectacle"

"Elle ne le manque pas. Elle est même particulièrement bien placée pour y assister."

 

A cet instant une des caméras de télévision filme les tribunes du palais où des invités prestigieux assistent au mariage. La voix du speraker s'élève à nouveau.

"Quelle est cette femme enfermée dans une cage plutôt inconfortable."

"Une espionne qui a trahi son pays et tenté de faire échouer cette alliance."

 

Face à l'écran, Zena a quelques difficultés à cacher son étonnement.

"N'est-ce pas dangereux d'exposer ainsi U69."

"Au contraire, c'est une méthode simple pour faire savoir aux opposants de tous bords que nos services secrets soutiennent cette union."

 

La princesse, désespérée, comprend que ses ravisseuses ne constituent que la partie la plus visible d'un complot aux sombres ramifications.

 

Le seul grain de sable est l'infime différence qui existe entre la princesse et Gwendoline : l'absence d'un tâche de naissance sur l'épaule de Gwendoline. Détail si dérisoire qu'il ne peut apparaître que si l'usurpatrice involontaire ose trahir ses geôliers.

 

Le moment fatidique est arrivé. L'attention excessive de la princesse n'échappe pas à Zéna.

 

"Tu espères vraiment que cette idiote va oser faire éclater la vérité? Et qu'on la croira? A cause de cette tâche absente de son épaule? Que personne n'a remarqué jusqu'ici?"

"C'est aussi la raison de la présence d'U69. Rappeler à Gwendoline qu'elle doit obéir si elle veut préserver la santé de son amie."

 

La princesse ne peut s'empêcher de maudire la stupidité de son sosie. Comment peut-elle s'imaginer que ces horribles femmes tiendront parole!

 

Zena qui a deviné ses pensées sourit cruellement.

 

"Ne t'inquiète pas pour cette naïve jeune femme. Nous lui avons promis qu'elle quitterait le pays et elle le fera. Elle aura même la joie de retrouver son cher oncle."

 

La princesse devine une autre infamie derrière ces propos mais ne parvient pas à en imaginer la raison. Que lui importe d'ailleurs le destin de cette jeune idiote qui est sur le point d'accepter de participer à une duperie qui plongera un pays entier dans l'affliction et la terreur.

 

Toujours attentive aux pensées de sa prisonnière, Zéna ne résiste pas au plaisir de la tourmenter moralement.

 

"Tu es injuste envers nous. Grâce à l'argent de l'organisation, ton pays va connaître un succès phénoménal. Les criminels auront un lieu où se rencontrer et négocier leurs affaires sans crainte des policiers à leur poursuite. Ils pourront passer des accords entre eux et avec des représentants des gouvernements ou des services secrets. Puis dépenser leur argent dans bars, des salles de jeu et toute autre lieu de plaisir. Si tu avais accepté notre accord, tu en aurais profité."

 

L'infernal bâillon prive la princesse de toute possibilité de répondre à ces mensonges. Elle ne peut que se débattre et bafouiller de façon ridicule puis constater à nouveau l'efficacité des sangles qui l'immobilisent.

 

Sa geôlière la caresse tendrement. Ses caresses paraissent encore plus cruelles à la prisonnière qui, vaincue, cesse de se débattre et se concentre sur la retransmission télévisée à l'instant où le bâillon est retiré de la bouche de Gwendoline.

 

Zéna sourit cruellement.

 

"A ton avis quelle va être la réponse de Gwendoline?"

 

 

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Dédié à Gwendoline, l'héroïne de John Willie. Ce site proposera des histoires à suivre de demoiselles en détresse. Si elles vous plaisent merci de laisser un commentaire.
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