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Hello Gwendoline
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Diana

Liz et Beth

13 août 2019

Les aventures de Katy Stone : Un capot pour Katy

La réaction ne se fait pas attendre.
- Qu’est-ce que tu espérais petite garce ? Séduire le shérif ?
- Elle est vraiment stupide ?
- Mais elle a mérité une bonne leçon. Qu’est ce que tu préfères salope ? Les fesses où les seins ?

Katy regarde les deux femmes sans comprendre le sens de leur parole.
- La cravache, tu préfères la recevoir sur tes fesses ou sur tes seins ?

Le regard de Katy exprime toute l’horreur que lui inspirent les infâmes propos de sa geôlière.
- Voyons ma chérie, elle ne peut pas répondre avec son bâillon.
- Il suffit qu’elle nous montre son joli petit cul pour que nous comprenions son choix.
La complice éclate de rire.
- Tu as raison. La limousine est suffisamment grande pour ça.

Elle dirige sa cravache vers Katy totalement désespérée.
- Dépêche-toi de te décider, gamine, à moins que tu souhaites que ta magnifique poitrine ait droit à l’expression de notre juste colère.
- Juste colère. Où vas-tu chercher tout ça ?

Consciente de son impuissance Katy se tourne de façon à exposer son postérieur aux infâmes geôlières.
- Je vois que tu as fait ton choix. Lève donc davantage ce charmant petit cul.

La captive obéit. Dans son esprit la rage est égale à son humiliation. Être contrainte de se soumettre à ces deux idiotes. D’exposer ainsi ses fesses. Cela lui semble inadmissible. Elle le leur fera payer quand elle aura retrouvé sa position.

Le premier coup de cravache s’abat suivi d’un second. Katy angoissée attend le troisième qui ne vient pas. Elle n’ose pas croire que ces ignobles femmes vont se contenter de deux coups. Et elle a raison car un troisième coup s’abat. Suivi d’un quatrième. D’un cinquième…. Elle cesse de compter car les coups ne s’arrêtent pas.

Les deux femmes sont excitées et ne cessent pas de frapper le postérieur de la prisonnière. Et ne se privent pas de commentaires humiliants.
Katy est presque heureuse d’être bâillonnée. Cela lui évite la tentation de supplier ses tortionnaires. Malheureusement elle ne peut pas retenir ses sanglots de rage et de douleur qui amusent beaucoup les deux infâmes geôlières.

Enfin les coups cessent. Katy tente de se redresser. Mais une pression de la cravache sur ses fesses la rappelle à l’ordre.
- Reste dans cette position. Que nous profitions du spectacle de notre travail.

La captive obéit. Comment peut-elle être tombée aussi bas et accepter de rester ainsi dans une position humiliante ? Elle sent la main d’une des femmes qui caresse ses fesses encore douloureuses. Elle s’efforce de ne pas frémir de ne pas montrer son dégoût et sa douleur. Devinant que ses tortionnaires profiteront de la moindre occasion pour la punir et l’humilier.
- On dirait que cette petite idiote a compris la leçon. C’est dommage.
- Ne t’inquiète pas. Les occasions ne manqueront pas.
- Tu sais pourquoi, il est défendu de lui retirer l’espèce de cagoule qui la bâillonne.
- Non mais les ordres de Richard étaient très clairs. Nous ne devons pas la retirer.

Richard, évidemment, il sait qui elle est. Et il est assez fou pour jouer avec le feu. En espérant cacher qui elle est. Il va se brûler et elle reprendra la main et lui fera payer tout ce qu’elle a subi.

Un nouveau coup de cravache la rappelle à l’ordre.
- Tu étais encore en train de rêver.
Katy ne peut pas s’empêcher d’émettre un cri de de rage heureusement étouffé par son bâillon.

Pas assez malheureusement.
- A ton avis, elle proteste ou elle s’excuse ?
- Le mieux, c’est de vérifier. Mets toi à genoux.

Katy s’exécute avec difficultés, gênée par ses chaînes.
- Tu es vraiment trop lente. Il va falloir t’améliorer.
- Je suis sûre que si elle n’était pas bâillonnée, elle dirait que ses chaînes la gênent.
- C’est tout l’intérêt du bâillon. Ça nous évite de de voir entendre des excuses inutiles.

Katy humiliée une fois de plus ne peut pas s’empêcher d’émettre un regard outré en direction de ses tourmenteuses.
Qui malheureusement ne leur échappe pas.

La cravache commence à frôler ses seins. La captive baisse la tête, espérant faire oublier ce regard de révolte. En vain.
- Qu’est-ce qui se passe, petite garce ? Tu estimes que nous ne traitons mal ? Tes chaînes sont trop étroites ? Ton bâillon est trop serré?

La jeune femme tente d’étouffer toute tentation de protester. Elle garde la tête basse.
- Regarde nous quand je te parle.

Katy lève la tête et s’efforce de mettre toute la soumission dont elle est capable dans son attitude. De faire taire la voix qui lui rappelle qu’elle est une Stone. Qu’une Stone ne se soumet pas.
- On dirait qu’elle se décide à obéir.
- Je n’ai pas confiance. Elle a besoin d’une bonne leçon.

On pourrait la faire courir derrière la voiture.
- Trop long, on serait obligé de ralentir. Mais on peut organiser une traversée.

Horrifiée, la jeune femme proteste à travers son bâillon.
- On dirait qu’elle sait de quoi on parle. Tu sais ce qu’est une traversée ?

Katy hoche frénétiquement et négativement la tête. Ces femmes ne doivent pas soupçonner qui elle est. Elle ne peut pas avoir confiance. Ce sont sans doute des complices de Richard. Elle ne pourra dévoiler son identité qu’à Sylvie ou à sa mère. Pourvu que Richard ne les ait pas chassées.

- Cette idiote est seulement terrifiée.
- Si elle savait ce qui l’attend, elle le serait davantage.

La femme s’adresse au chauffeur.
- Appelle le maire du village et demande lui d’organiser une traversée.
- Dans combien de temps ?
- Combien pour atteindre le village.
- Environ dix minutes.
- Plus dix minutes pour préparer cette petite dinde. Dis-lui vingt minutes et arrête-toi dès que tu le peux.
- Avec plaisir madame.

La voiture s’arrête au bord de la route. Katy descend lentement. Ses chaînes lui sont retirées. Instinctivement, elle tente sa chance. Bouscule une des femmes et fonce dans le champ qui longe la route. Elle entend le chauffeur qui est déjà derrière elle. Se jette au sol comme si elle était tombée. Sa main se ferme sur une pierre. Le chauffeur se penche vers elle pour la relever. Elle lève la main armée de la pierre pour le frapper mais elle est épuisée par ses épreuves. Ses gestes sont trop lent. Le chauffeur saisit son poignet. Elle lâche la pierre. L’homme lui tord les bras dans le dos. Elle se débat faiblement. La pression sur ses bras se fait plus forte.
- Tu devrais te calmer si tu ne veux pas que je te fasse vraiment mal.

Katy cesse de se débattre et laisse l’homme la ramener jusqu’à l’automobile où les deux femmes qui n’ont pas bougé les attendent.
La captive est contrainte de s’allonger sur le capot de la limousine. Ses fesses appuyées sur le métal encore chaud.

Le chauffeur enferme son poignet gauche dans un bracelet métallique qu’il relie au côté gauche de la voiture. Sa complice agit de même avec le poignet droit du côté droit. Les chevilles de Katy sont enchainées par leur complice de la même façon à l’avant du véhicule. La jeune femme écartelée sur le capot tire sur ses chaînes et jettent des regards suppliants à ses tortionnaires.

- On dirait qu’elle regrette.
- ça lui apprendra à obéir. Et si elle savait ce qui l’attend, elle regretterait encore davantage son manque de docilité.

Katy sait justement ce qui l’attend et serait prête à tout pour y échapper. Les traversées, c’est bon pour les traînées que son père voulait ramener dans le droit chemin. Ce n’est pas pour elle.

Quand Sylvie l’aura reconnue, elle fera payer tout ce qu’elle a subi.

Mais pour l’instant, elle est nue, bâillonnée et écartelée sur le capot d’une voiture.
- Tu ne crains pas que Sylvie et sa mère nous reprochent cette initiative.

Elles sont toujours là. C’est merveilleux. Il suffit de patienter. Elles finiront bien par voir leur amie et elle sera sauvée.

- Tu sais très bien que pour celle-ci nous ne rendons compte qu’à Richard.

Bien sûr, Richard veut tenir ses amies à l’écart mais il devrait savoir que rien n’échappe à la gouvernante.

- On dirait que cette idiote s’est calmée. Elle a même l’air réjouie .
- Ne t’inquiète pas, dans quelques instants, elle le sera beaucoup moins.

Les deux femmes et l’homme éclatent de rire. Katy qui a deviné ce qui l’attend tire sur ses chaînes. Sans résultat évidemment. Elle est bien fixée au capot de la voiture. Écartelée, nue, exposée. Comme une quelconque catin. Les villageois paieront avec les autres ce qu’ils vont lui faire subir. Personne n’échappera à sa vengeance.

Ces douces pensées l’aident à supporter l’approche du village alors que la voiture avance au ralenti pendant que ses geôlières se tiennent à ses côtés.

Mais malgré ses pensées réconfortantes Katy ne peut pas calmer l’angoisse et la rage qui l’étreignent en songeant à l’épreuve qu’elle va subir.

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Dédié à Gwendoline, l'héroïne de John Willie. Ce site proposera des histoires à suivre de demoiselles en détresse. Si elles vous plaisent merci de laisser un commentaire.
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