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Hello Gwendoline
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Diana

Liz et Beth

24 mai 2021

Le choix de Gwendoline : le pub

Seule, ligotée et bâillonnée Gwendoline songe à sa triste situation. Depuis qu'elle a croisé la route de l'infâme Darcy, elle n'a connu qu'enlèvements, bâillons, cordes et chaînes. U69 était là pour la sauver. Mais U69 est à présent enfermée dans une cage dans un pays lointain. Personne ne viendra sauver U69 et personne ne viendra sauver Gwen.

Les propos que son oncle a tenu à la policière l'inquiètent. La police est-elle aux ordres de ceux qui sont à l'origine de cet ignoble complot? Que se passera-t-il quand la jeune femme fera son rapport? A-t-elle seulement compris que Gwen avait réussi à s'échapper?

La jeune femme doit admettre que les personnes les plus susceptibles de revenir sont son oncle et ses complices.

Elle doit trouver un moyen de se libérer. Mais ses liens sont trop serrés. Plus elle se débat. Plus ils deviennent brûlants. Elle cherche désespérément un moyen de s'en débarrasser.

Elle aperçoit une pierre qui semble présenter une arrête tranchante. La pierre n'est qu'à quelques mètres mais presque inaccessible dans sa situation.

Rampant, roulant, elle réussit à l'atteindre et fait glisser les liens de ses poignets sur la lame improvisée.

Combien de temps avant que son oncle décide qu'il n'y a plus de risque à revenir?

La pierre n'est pas aussi tranchante qu'elle l'espérait et la corde qui lie ses poignets beaucoup plus solide qu'elle l'imaginait. Pourtant elle ne renonce pas. Elle continue de frotter ses liens contre la pierre et guette les bruits de moteur. Tremblant à chaque fois qu'une voiture passe par cette petite route ou pire si elle semble ralentir.

Enfin les liens de ses poignets cèdent.

Mais c'est loin d'être fini. Les liens de ses bras sont toujours là. Pourtant le plus urgent est de libérer ses cuisses et ses chevilles. Les noeuds sont terriblement serrés.

Noeud après noeud. Lien après lien, elle réussit à libérer ses jambes. Il reste les liens de ses bras et de son torse. Elle avise une autre pierre qui semble plus coupante que la précédente. Elle s'en empare et s'attaque aux cordes.

Le dernier lien tombe. Elle défait son bâillon. Crache l'infâme boule qui envahissait sa bouche.

 Elle est libre

 Elle regagne la route secondaire et cherche la direction de la route principale. Arrivée là, il ne lui restera qu'à faire de l'auto-stop et espérer que ses ravisseurs ne sont pas déjà à sa recherche.

 Il ne faut que quelques minutes pour qu'une voiture s'arrête. Une décapotable. A son bord, se trouvent trois jeunes femmes. C'est soit un piège soit la meilleure des cachettes.

 Elle décide de tenter sa chance. Et s'installe dans la voiture

"Tu viens pour la fête de la ville?"

"La fête de la ville?"

"Comment peux-tu ne pas être au courant?"

 Difficile de répondre "parce que ces dernières semaines, j'ai été enlevée, bâillonnée, ligotée, transportée dans un pays étranger, contrainte de me marier sous un faux nom et que je viens de découvrir que la seule personne libre en qui j'avais encore confiance m'avait trahie."

 Elle se contente d'un "j'étais à l'étranger".

 "ça va être grandiose. Personne n'aura le droit de sortir sans être déguisé."

"Et ça commence quand?"

"Après le coucher du soleil. Ce sera annoncé par une chanson qui sera retransmise par des haut-parleur dans toute la ville."

 Elles arrivent en ville. Gwen vérifie l'heure. La journaliste est peut-être encore au lieu de rendez-vous. Par chance, elle n'avait pas donné de détails à son oncle. Elle avait seulement parlé d'un rendez-vous sans préciser davantage. Les trois jeunes femmes acceptent de la déposer et lui donnent une adresse où les rejoindre pour la fête.

Quand elle approche du pub où elle doit retrouver Diana, la journaliste, Gwen observe chaque détail. Son oncle a prouvé son habileté. Elle regrette de ne pas avoir demandé aux fêtardes de l'accompagner. Mais ses adversaires auraient-ils reculé devant l'enlèvement de trois jeunes femmes supplémentaires?

Elle s'approche du pub. La journaliste est appuyé sur une table. Elle devine sa célèbre silhouette à travers une fenêtre. Elle pousse la porte du pub.

 Et se trouve face à son oncle. La femme appuyée à la table retire son chapeau. Ce n'est pas la journaliste. C'est Fifi habilement déguisée. La porte se ferme derrière elle. Elle est prise au piège.

 L'oncle sourit.

"Ma chère nièce, c'est un vrai plaisir de te voir tomber dans tous nos pièges."

"Comment avez-vous su?"

"Si tu veux bien croiser tes poignets dans tons dos, je vais te l'expliquer pendant que Zaza commence à te ligoter."

Gwen obéit et doit écouter le récit triomphant de son oncle tout en sentant les cordes enserrer ses poignets.

 "C'était astucieux d'appeler depuis l'aéroport, mais ces cabines sont très mal insonorisées et nous n'avons eu aucun mal à identifier la journaliste que tu avais contacté."

Gwen ignore si elle frémit à cause de ses erreurs ou de la corde qui s'enfonce dans sa peau.

"La journaliste n'est jamais venu au rendez-vous. Une des soeurs du prince a appelé pour l'annuler en imitant ta voix."

 Gwen baisse la tête. Honteuse d'avoir été aussi naïve. Elle sent à présent une corde qui enserre ses bras au-dessus des coudes.

"Comment saviez-vous à quoi elle ressemblait?"

"De la même façon que toi grâce aux portraits qu'ils ont publié dans un de leur numéro. Nous avons réservé le pub pour la journée."

 Les bras de la prisonnière sont à présent liés. Mais Zaza n'en reste pas là. La servante relie une corde à celle de ses bras et s'apprête à la faire passer sous ses seins quand l'oncle l'arrêt d'un geste.

"Attendez un instant."

 L'ignoble individu s'approche de sa nièce. Gwen réalise qu'elle n'avait jamais remarqué à quel point il était imposant. Il saisit les pans du chemisier et les écarte d'un geste sec. Le vêtement s'ouvre dévoilant le soutien-gorge de la jeune femme. Elle frémit au son des boutons qui tombent sur le sol.

"Vous êtes abject."

 Fifi tire les cheveux de la prisonnière.

"Nous devrions mettre un bâillon sur cette bouche insolente."

"Et nous priver de ses questions naïves ou de ses réactions stupides. Le bâillon viendra en son temps."

 Gwen, qui est bloquée entre Zaza, qui tient ferment ses bras liés, et Fifi qui n'a pas lâché ses cheveux, supplie honteusement son oncle.

"Non. Ne me bâillonnez pas. Je vais être raisonnable."

"Tu es toujours aussi présomptueuse."

 L'oncle sort un couteau et glisse la lame sous la bretelle de l’épaule gauche.

"Non. Ne faites pas ça."

"Tu vois bien que tu n'es pas raisonnable."

"Si vous le faites, faites le bien."

"Que proposez-vous Fifi?"

 La servante lâche les cheveux de Gwen et saisit le long fume-cigarette qui fait partie de la légende de la journaliste et qui a contribué à duper Gwen. A son extrémité une cigarette continue de se consumer.

"Tenez donc la bretelle."

 Gwen fascinée par l'élégance de sa tourmenteuse ne réagit pas et regarde malgré elle l'extrémité incandescente s'approcher de la bretelle de son soutien-gorge qui fond sous l'effet de la chaleur. Bien qu'elle sache que c'est inutile, elle supplie.

"Ne faites pas ça."

 La deuxième bretelle cède. Gwen tente de se dégager mais la ne réussit qu'à inciter Zaza à affermir sa prise.

"Vous continuez avec votre cigarette ou je peux prendre la suite?"

"Puisque vous préférez les méthodes de rustre, je vous laisse continuer."

 Gwen sent la froideur de la lame s'insérer sous le tissu du sous-vêtement dans la vallée qui sépare ses seins jusqu'à ce qu'il cède et tombe au pied de la jeune femme.

 La captive, totalement, abattue, laisse ses ravisseurs déchirer ce qui reste de son chemisier. C'est à peine si le son du tissu qui se rompt la fait frémir.

 Elle tente pourtant de semer le trouble parmi les criminels pendant Zaza aidée de Fifi ligote son torse totalement dénudé.

"Comment avez-vous réussi à réserver ce pub?"

"Quand tu montres une liasse conséquente de billets, la plupart des gens écoutent ta proposition."

"J'ai donnée de nombreux détails à la journaliste. Elle n'abandonnera pas."

"Je crois qu'il est temps de la bâillonner."

"Il nous manque juste un élément."

 La criminelle glisse la main sous la jupe de Gwen et arrache sa petite culotte. Le cri de colère de Gwen est étouffé quand le sous-vêtement est enfoncé dans sa bouche. Avant qu'elle puisse le recracher Zaza insère une bande de tissu, issue de son chemisier, entre ses lèvres. Une bande plus large est appliquée sur sa bouche puis, ainsi que la précédente nouée sur sa nuque.

 Zaza arrête le geste suivant de Fifi.

"Ne déchire pas sa jupe."

"Je doute qu'elle en ait besoin."

"Je crois qu'elle pourrait m'aller."

"Dans ce cas."

Fifi dégrafe la jupe de la prisonnière et la dépose sur une chaise.

 Zaza fixe une corde aux poignets de Gwen et la fait passer entre ses jambes. Zaza la récupère et la tend jusqu'à ce qu'elle s'insère dans l'entrejambe de sa victime qui est incapable cacher le trouble qu'elle éprouve face au frottement du chanvre. La criminelle entoure ensuite la taille de Gwen et achève son travail par un noeud coulant juste sous son nombril.

 Fifi assène une tape sur les fesses de la captive.

"Fais quelques pas esclave."

 La captive obéit et éprouve des sensations incontrôlables provoquées par le glissement de la corde. Elle gémit malgré elle. Pour le plus grand amusement de ses tortionnaires. Epuisée, effrayée, elle cesse de marcher.

"Qui t'as autorisé à t'arrêter de marcher?"

 La remarque s'accompagne du claquement d'un fouet qui effleure les fesses de la captive. Suffisamment pour l'inciter à reprendre sa marche.

 La jeune femme remarque que la porte arrière du pub est resté ouverte. Ces ravisseurs n'ont pas ligoté ses chevilles. Elle sait que cette tentation est ridicule. Elle ignore ce qu'il y a derrière cette porte. Et n'oublie pas qu'elle est nue, bâillonnée, ligotée. Qu'elle a moins de chances d'être secourue que d'être capturée.

 Mais le désir d'évasion est trop fort.

Elle s'élance.

 Le claquement d'un fouet retentit. La lanière s'enroule autour de ses chevilles. Elle tombe sur le sol face contre terre. Avant qu'elle puisse tenter de se relever elle est tirée en arrière, glisse sur le sol. Les mains de Fifi et Zaza la saisissent et la relèvent sans ménagement.

"Encore une tentative ridicule d'évasion et tes fesses apprendront à vraiment connaître mon fouet".

 Vaincue, Gwen baisse la tête. La main de Zaza saisit ses cheveux l'obligeant à regarder son oncle droit dans les yeux. Terrifiée la jeune femme détourne le regard.

"Il semble que tu commences à comprendre comment se conduit une véritable esclave. Occupez vous de ses chevilles."

Pendant que Fifi continue de tenir leur prisonnière par les cheveux Zaza attache les chevilles de Gwen avec une corde juste assez large pour qu'elle puisse marcher avec difficultés.

 L'oncle s'approche ensuite de sa nièce en souriant.

"Regarde le beau cadeau que je t'offre."

 Gwen frémit. Son ravisseur tient entre ses mains un collier métallique auquel est accroché une lanière de cuir. La jeune femme proteste à travers son bâillon. Pour le plus grand amusement de ses tourmenteurs.

 Fifi fixe le collier autour du cou de la captive. Puis saisit la lanière. Gwen est une nouvelle fois tenue en laisse.

 Elle s'attend à être conduite vers un garage ou une arrière-cour où elle sera cachée dans le coffre d'une voiture. A sa grande surprise, ses ravisseurs la conduisent vers la porte principale. Comment espèrent-ils la cacher?

 A cet instant retentit une musique qui envahit toute la ville grâce aux hauts-parleurs éparpillés dans toutes les rues de la ville.

 La fête de ce soir. Où tout le monde est déguisé. C'en est trop, elle s'arrête. Résiste malgré la traction exercée sur sa laisse et les coups de cravache sur son postérieur. Elle refuse d'être promenée dans toute la ville dans cette tenue.

 "Cette petite idiote est vraiment trop indisciplinée. Depuis le temps, elle devrait avoir compris qu'il est stupide de résister."

Zaza saisit ses cheveux et regarde la captive droit dans les yeux.

"La laisse n'est pas notre seule option. Nous pouvons attacher tes chevilles à tes poignets et te suspendre tête en bas à une barre de bois pour te promener ainsi dans la ville. Que préfères-tu?"

 Vaincue, Gwen baisse la tête pour montrer sa soumission. Fifi saisit la laisse et tire un coup sec. Gwen obéit et se met en marche. Zaza lui assène une tape sur les fesses pour la féliciter.

"Tu deviens raisonnable. Allons rejoindre la fête."

 Ligotée, bâillonnée, les chevilles entravées, tenue en laisse, Gwen obéit et se dirige vers la sortie du pub.

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Hello Gwendoline
Dédié à Gwendoline, l'héroïne de John Willie. Ce site proposera des histoires à suivre de demoiselles en détresse. Si elles vous plaisent merci de laisser un commentaire.
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